Ils/elles ont dit...
« Faites juste une chose ou l’autre, n’essayez pas d’être deux personnes à la fois … »
– Arthur Morgan
“Guillén est tout simplement incroyable, et c’est pourquoi il est une légende en devenir. »
– Jain Lemos
“La grande qualité du chant de Rocío Márquez mérite un accompagnement à la guitare à la fois sublime et moderne. Guillermo Guillén le lui apporte. Son “toque” est en parfaite harmonie avec tous les chants qu’il accompagne. La limpidité du son, la technique, les “falsetas” innovantes, la communication et complémentarité avec la voix, offrent une sensation de perfection qui, par moments, nous donne l’impression que nous sommes en plein rêve…”
– Rafael Suárez López, jondoweb.com
« On ne peut qu’admirer la musicalité et la justesse de ton du jeu de Guillermo Guillén. Dans les cantes libres (Granaína y Media ; Tarantas accompagnées « por Minera »), comme dans les Peteneras (version originale de la cantaora, avec une belle coda en duo : voix et trémolo) et la Soleá, il obtient par le parfait calibrage de ses falsetas et la précision de son accompagnement (non seulement pour l’ harmonie, mais surtout pour la durée et le phrasé de ses réponses) des effets de « fondu – enchaîné » qui donnent aux suites de cantes une remarquable unité. La performance est particulièrement appréciable dans les cantes libres, pour lesquels l’absence de pulsation régulière rend l’exercice particulièrement ardu. Combien de patientes répétitions pour obtenir un résultat aussi fluide et apparemment naturel? »
– Claude Worms, flamencoweb.com
“…la guitare intéressante de Guillermo Guillén, un grand professionnel, très conscient du fait que la guitare est le fil conducteur le long duquel doit s’écouler le spectacle. En plus de conserver les éléments traditionnels et identitaires de chaque style qu’il doit interpréter, il y ajoute ses propres éclats d’inspiration, qui enrichissent mais en aucun cas n’interfèrent ni ne dénaturent le style en question.”
– Eulalia Pablo, El Eco De La Memoria
“La présence singulière, attentive, respectueuse et libre de Guillermo Guillén:
Guillermo Guillén débuta les deux récitals par un solo «por Granaína». Certains naissent vraiment «étoilés». Son jeu révèle une personnalité discrète et pourtant affirmée, ainsi qu’une musicalité inventive et éclectique.
Les falsetas variées et fluides de Guillermo Guillén s’ aventurèrent sur des chemins peu habituels, qui déroutèrent parfois. Finalement il revint à un accompagnement dans la pure tradition lorsque repris le chant. C’ est peut-être dans ces Cantiñas que se révéla le plus complètement la personnalité musicale du guitariste, curieuse, ouverte et respectueuse à la fois : une présence particulièrement intéressante, et bien différente de ce que nous avons l’ habitude d’ entendre.”
– Manuela Papino, Festival Flamenco Toulouse
“Guillermo Guillén se révèle grâce à Cinco être un brillant mélodiste, auteur de riffs puissants et entêtants.
Avec un mélange d’éléments qui ne manque pas de rappeler le meilleur de la guitare flamenca soliste actuelle, Jorge Pardo ou El Bicho, la proposition de Plan F est novatrice et stimulante.“
– Juan Vergillos, El Diario De Sevilla
« Nous avons découvert Guillermo Guillén il y a déjà une bonne dizaine d’années (…). Nous avions immédiatement pensé reconnaître en lui un musicien fin et sensible, attentif à sa partenaire – ce qu’il confirme en signant ou co-signant toutes les compositions de l’album “Cinco” de Plan F.“
– Claude Worms, flamencoweb.com
“Guillermo Guillén est le seul guitariste qui peut se vanter d’avoir accompagné quatre premiers prix et une “Lámpara Minera” avec Rocío Marquez dans la même édition du Festival del Cante de Las Minas de La Unión. Son rapport avec Rocío est tel qu’il adaptera son registre uniquement pour l’accompagner. Il transmet une grande tranquillité et est très attentif au cante et il aime innover avec ses propres créations. Déterminé, intelligent et ne doute jamais, une valeur sûre.”
Manuel Sualis, revistalaflamenca.com
“Guillermo Guillén fut constamment au diapason, et nous démontra avec talent que l’ art de l’accompagnement ne doit pas être confondu avec celui du solo. Ses sobres falsetas, souvent conçues dans un idiome musical traditionnel, possèdent la densité et la concision nécessaires au développement dynamique des séries de cantes. Sa sonorité est d’ une grande finesse (Soleá, Malagueña, Minera…), mais peut se montrer percutante si le chant l’exige (Siguiriya, Tangos…). Surtout, il connaît (et respecte) parfaitement la cantaora, anticipe avec intuition ses moindres intentions, et lui laisse toujours l’exact espace musical indispensable à la conduite mélodique. Le guitariste nous rappela avec finesse que le silence est aussi un geste musical signifiant.”
– Claude Worms, flamencoweb.com